Nouvelle histoire : “Le cas PdP”

Pour cette histoire à contrainte, l’illustratrice m’appelle pour me donner sa contrainte (j’entends un petit sourire dans sa voix) et me dit : “note les lettres que je vais t’épeler”. Là, je me dis qu’on est mal barré pour la suite si elle prend soin de m’épeler des mots ; bonjour la confiance en mon niveau orthographique ! Mais passons…

Je note donc : K – P – D – P.

Ok, je comprends mieux son objectif (et son sourire dans la voix), je retire ce que j’ai pensé (mais je le laisse écrit parce que sinon ma blague un peu plus haut tombe à l’eau ainsi que cette parenthèse sur ma blague un peu plus haut).

Je m’attelle donc à l’écriture de mon texte avec un sourire dans les doigts et dans le cerveau. Hmmm… comment jouer avec cette contrainte ?

Ayé ! j’ai trouvé ! une idée de génie ! (comme d’habitude, me direz-vous)

J’imagine que vous trépignez d’impatience de la découvrir, cette idée… et de vous mettre à sourire à votre tour. Les plus malins d’entre vous se disent probablement qu’ils ont déjà tout compris… (oui, mais non, quand même, je ne dévoile pas tout ici).

Dans tous les cas, rendez-vous ici pour lire notre nouvelle histoire :

Le cas PdP

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