Nouveau Polar : Porte dérobée
Pour cette nouvelle contrainte, j’ai longtemps cherché un super mot.
Cette fois j’avais envie d’explorer des mondes un peu mystérieux. Je me voyais déjà au Moyen-âge, dans une bâtisse de vieilles pierres et du lierre qui enlace le tout. Des chandelles qui illuminent timidement et des forêts brumeuses éclairées par la lune diaphane.
Afin d’éveiller l’intérêt de l’auteur, je lance donc une contrainte dont j’ai le secret : porte dérobée.
Bon autant dire qu’en définitive, nous sommes loin d’une époque reculée, que j’ai troqué la fourche de l’hérétique par de simples menottes et qu’à partir de ce moment là, je me suis demandée si le polar ne serait pas à tout jamais notre seul et unique terrain de jeu.
Passée cette “petite” déception, j’ai aimé décrire le quotidien de ce commissaire tout aussi impénétrable qu’aux goûts sportifs discutables.
Son crossover avec “Le cas PDP” boucle un peu plus la boucle et nous donne quelques indices supplémentaires.
Une mention spéciale pour Robert XXII !