Indiens valent mieux quand deux tu verras

Pour cet opus, nous sommes partis – comme souvent – d’une contrainte.

Avec cette contrainte – comme souvent – je me suis amusé pour écrire le texte : ne cherchez pas le mot de la contrainte, il n’est cette fois-ci pas employé dans le texte. Je vous laisse le soin de le deviner.

Avec cette histoire – comme souvent – l’illustratrice a beaucoup apprécié dessiner. Et – comme tout le temps – elle a réalisé un travail admirable. Davantage encore que comme tout le temps, d’ailleurs. Elle a ainsi pris le temps de nous peaufiner une fresque colorée, dont nous vous laissons admirer le résultat :

>> Suivez ce lien pour la contempler.

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